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Tout savoir sur le sevrage tabagique

La gamme Nicorette®

Ils diffusent la nicotine de façon lente et régulière directement à travers la peau (voie transdermique). Contrairement au shoot nicotinique provoqué par la cigarette, la diffusion lente de nicotine permet de soulager les symptômes de manque sans entretenir la dépendance.

Les patchs Nicoretteskin® 16 heures doivent être collés le matin et retirés le soir avant le coucher. Ils doivent s’appliquer sur une zone de peau propre et sèche dont la pilosité est modérée. Il est primordial que le dosage du traitement soit adapté à votre degré de dépendance.

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Le patch nicotinique s’utilise dans le cadre d’un arrêt immédiat. Commencez par déterminer votre degré de dépendance au tabac grâce au test de Fagerström ou avec un professionnel de santé. Cela va vous permettre de choisir le dosage de patch adapté à vos besoins. Les patchs Nicoretteskin® sont disponibles en 3 dosages : 25mg/16h, 15mg/16h et 10mg/16h.

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Afin de déterminer votre degré de dépendance, commencez par faire le test de Fagerstöm ; puis utilisez le sélecteur de produits Nicorette® qui vous aidera à choisir le produit le plus adapté à vos besoins.

Si votre dépendance n’est pas trop forte et que vous êtes dans de bonnes dispositions psychologiques, un arrêt immédiat est possible. Si vous souhaitez arrêter mais que vous ne vous sentez pas prêt à le faire du jour au lendemain, la réduction avant arrêt est une solution envisageable selon les indications des différents produits (inhaleur, spray buccal, gommes à mâcher ou comprimés à sucer Nicorette®).

Quelle que soit la méthode choisie pour arrêter de fumer, les substituts nicotiniques augmentent de façon significative les chances de succès.

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Pour réduire la cigarette progressivement, commencez par remplacer les cigarettes dont vous pouvez vous passer le plus facilement par les gommes à mâcher, le spray buccal, l’inhaleur ou les comprimés à sucer Nicorette®. Ces derniers permettent de soulager les symptômes de manque et de réduire l’envie de cigarette sereinement.

Au fur et à mesure, remplacez de plus en plus de cigarettes par des gommes à mâcher, le spray buccal, l’inhaleur ou des comprimés à sucer Nicorette®. Lorsque vous vous sentirez prêt, vous pourrez tenter l’arrêt complet. Pour les gommes à mâcher, l'inhaleur ou les comprimés à sucer, il est recommandé d’arrêter dans les 6 mois après le début du traitement. Si après 9 mois vous n’êtes pas parvenu à l’arrêt, il est recommandé de consulter un professionnel de santé. Pour le spray buccal, il est recommandé d'arrêter dès que vous vous sentez prêt et au plus tard 12 semaines après le début du traitement.

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Même si il en existe différentes formes (spray buccal, patch, gommes, etc.), les substituts nicotiniques fonctionnent toujours sur le même principe de base : ils diffusent de la nicotine de manière plus ou moins lente et régulière, contrairement à la cigarette qui provoque un « shoot » nicotinique. Ainsi, les substituts permettent de soulager les symptômes du manque, sans procurer de sensation de plaisir. La dépendance n’est donc pas entretenue.(1)

[;(1) Tabac info service. Je choisis un traitement adapté. http://www.tabac-info-service.fr/J-arrete-de-fumer/Je-choisis-ma-strategie/Je-choisis-un-traitement-adapte [consulté le 17/09/2019];]

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Les substituts nicotiniques sont des médicaments vendus en pharmacie, avec ou sans ordonnance.

L’Assurance Maladie prend en charge, sur prescription médicale, certaines formes de substituts nicotiniques à hauteur de 65%.

Au sein de la gamme Nicorette®, les patchs Nicoretteskin® 16 heures, les gommes à mâcher (boîtes de 105 et 210) et les comprimés sublinguaux Nicorette® Microtab sont remboursables de manière « classique par la Sécurité Sociale, à hauteur de 65%. »

Si vous bénéficiez d’une mutuelle, vous pouvez même obtenir un remboursement à 100% du ticket modérateur, n’hésitez pas à contacter votre mutuelle.

Les professionnels de santé habilités à prescrire les substituts nicotiniques sont les médecins, les sages-femmes, les infirmiers, les médecins du travail, les kinésithérapeutes ou les chirurgien dentistes. Demandez leur conseil.

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Il est important d’être bien informé lorsque l’on réfléchi au choix d’un substitut nicotinique. En effet, il existe différents types de substituts pour s’adapter à vos besoins et à votre degré de dépendance :

  • Les patchs Nicoretteskin® 16 heures pour arrêter de fumer grâce à un seul geste par jour.

  • Les gommes à mâcher Nicorette® pour combattre activement vos envies de fumer.

  • Le spray Nicorette® pour soulager dès 30 secondes vos envies irrésistibles de fumer.*

  • Les comprimés sublinguaux Nicorette® Microtab à laisser fondre sous la langue pour arrêter de fumer en toute discrétion.

  • Les comprimés à sucer Nicorette® pour les emmener partout avec leur étui nomade.

  • L’inhaleur Nicorette® pour arrêter tout en gardant le geste, sans les méfaits du tabac.

  • Découvrez le sélecteur de produits Nicorette®, qui vous aidera à choisir le produit le plus adapté à vos besoins.

*Après 2 pulvérisations. Ne pas dépasser 2 pulvérisations par jour.

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Les substituts diffusent de la nicotine sans procurer de pic de plaisir, ils permettent ainsi de soulager les symptômes du manque sans entretenir la dépendance au tabac. Cela permet à votre cerveau de se désaccoutumer progressivement de la nicotine, vous aidant ainsi à surmonter votre dépendance au tabac. Ces traitements vont jusqu’à doubler les chances d’arrêt à 1 an par rapport à la volonté seule.(1)

(1) Hartmann-Boyce J. et al. Nicotine replacement therapy for smoking cessation. Cochrane Database of Systematic Reviews 2018 Issue 5

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Chez les fumeurs dépendants qui veulent arrêter de fumer, il n’y a pas de contre-indications à l’usage de substituts nicotiniques, sauf hypersensibilité à l'un des composants. Néanmoins, les femmes enceintes et les personnes souffrant de problèmes cardiaques majeurs (AVC ou infarctus récents) doivent faire l’objet d’un suivi médical.

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Fumer avec un substitut nicotinique ne présente pas de danger pour la santé. Néanmoins, fumer une cigarette en utilisant un patch ou un spray expose à des symptômes de surdosage ; ce n’est donc pas recommandé.(1)

[;(1) Tabac info service. Traitements et substituts. http://www.tabac-info-service.fr/Vos-questions-Nos-reponses/Traitements-et-substituts [consulté le 17/09/2019];]

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Il n’est pas conseillé d’utiliser les gommes à mâcher lorsque l’on porte un appareil dentaire. En effet, gommes et appareil dentaire sont difficilement compatibles en raison du risque de décollement de celui-ci. Il est alors préférable d’utiliser une autre forme de substitut nicotinique : patch, spray, comprimés, inhaleur, etc.(1)

(1) Béatrice Le Maître – Le tabac en 200 questions - 2005

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Toutes les gommes à mâcher Nicorette® sont sans sucre. Tout comme de nombreux produits de consommation courante (bonbons, dentifrice…), ces gommes sans sucre sont édulcorées au xylitol, au sorbitol ou au xylitol + acésulfame potassique.

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Les comprimés sublinguaux Nicorette® Microtab sont à laisser fondre sous la langue. Ils permettent d’arrêter de fumer en toute discrétion. En fondant, les comprimés sublinguaux libèrent progressivement de la nicotine qui est alors absorbée par la muqueuse buccale pour atteindre la circulation sanguine, soulageant ainsi les sensations de manque sans provoquer de « shoot » nicotinique.

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Fumer avec un patch peut présenter un risque de surdosage : cela dépend du dosage du patch utilisé de même que de la dépendance du fumeur. Ce n’est donc pas recommandé. Retirer le patch le temps d’une cigarette ne change rien, en effet la nicotine reste dans la couche superficielle de la peau et continue à se diffuser pendant environ deux heures. Le patch doit être correctement dosé afin d’éviter les envies de cigarette.(1)

[;(1) Tabac info service. Je choisis un traitement adapté. http://www.tabac-info-service.fr/J-arrete-de-fumer/Je-choisis-ma-strategie/Je-choisis-un-traitement-adapte [consulté le 17/09/2019];]

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Les patchs 16 heures permettent de ne pas diffuser de nicotine pendant la nuit, favorisant ainsi le repos. En effet, la nicotine est une substance excitante qui peut provoquer des troubles du sommeil. De plus, la grande majorité des fumeurs ne fume pas la nuit, ils n’ont donc pas besoin de nicotine à ce moment-là.(1)

[;(1) Tabac info service. Je choisis un traitement adapté. http://www.tabac-info-service.fr/J-arrete-de-fumer/Je-choisis-ma-strategie/Je-choisis-un-traitement-adapte [consulté le 17/09/2019];]

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Une fois posé, le patch ne doit pas être décollé et remis sous peine de moins bien adhérer. Lorsque vous vous entraînez de manière intensive, la transpiration peut empêcher le patch de bien adhérer à la peau. Il faut alors préférer une forme orale : gommes à mâcher, comprimés ou inhaleur. En cas de bain de mer ou de piscine prolongé, vous avez 2 possibilités :(1)

  • Avant le bain, retirez le dispositif transdermique et replacez-le immédiatement sur son support. Il pourra être recollé sur une peau bien séchée.

  • Recouvrez le dispositif transdermique d’un pansement adhésif étanche pendant la durée du bain.

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Il arrive de constater des intolérances cutanées à l’endroit où est collé le patch, bien que tout le monde n’y soit pas sujet. Pour éviter ce phénomène, il est recommandé de changer chaque jour l’emplacement du patch. Dans le cas où ces réactions seraient trop importantes, il est préférable d’utiliser un autre type de substitut nicotinique (gommes à mâcher, spray buccal, etc.) et d’en informer votre médecin ou votre pharmacien.

Les effets indésirables peuvent être les suivants : démangeaisons, étourdissement, troubles digestifs divers, rougeurs aux points d’applications ou, plus rarement, des palpitations et urticaire.

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La régulation du dosage de nicotine pour l’inhaleur se fait en fonction du nombre d’inhalations. Cela permet d’adapter le dosage de nicotine à son degré de dépendance. En début de sevrage, certains fumeurs assez peu dépendants n’utiliseront que quelques cartouches par jour, tandis que d’autres, plus dépendants, en utiliseront cinq ou six (maximum 12 cartouches par jour).

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L’inhaleur permet de garder le geste, sans les méfaits du tabac, et sans provoquer le « shoot » de nicotine responsable de la dépendance physique. Cela permet de soulager les sensations de manque le temps que votre cerveau apprenne à ne plus réclamer sa dose de nicotine.

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Il est difficile de distinguer une cartouche d’inhaleur vide d’une cartouche pleine (peut-être une légère différence de couleur). C’est à l’usage qu’on s’aperçoit qu’il est temps de changer la cartouche de son inhaleur, lorsque son efficacité n'est plus ressentie, et que l’envie de fumer persiste malgré l’utilisation de l’inhaleur.

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La durée d'utilisation d'une cartouche peut varier de 20 minutes en une seule utilisation intensive et continue, et jusqu'a 4 fois 20 minutes si l'utilisation est peu intensive et discontinue. Chaque cartouche de 10 mg se substitue approximativement à 3-4 cigarettes. Bien sûr, la durée de la cartouche d’inhaleur varie en fonction de chaque fumeur. Il ne faut toutefois pas utiliser une cartouche au-delà de 12 heures après son ouverture.

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Inhaleur et cigarette n’ont rien à voir. L’inhaleur est un médicament d’aide au sevrage tabagique. L’air aspiré lors de l’utilisation de l’inhaleur est chargé de microgouttelettes de nicotine qui viennent se déposer sur la muqueuse buccale. Cependant, une bouffée d’inhaleur ne correspond pas à une bouffée de cigarette : avec l’inhaleur il n’y a pas de « shoot » nicotinique (or c’est ce « shoot » qui entretient la dépendance), ni aucun des 4 000 produits chimiques contenus dans la fumée de cigarette.

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Le spray buccal Nicorettespray® est une solution unique et innovante, qui soulage dès 30 secondes les envies irrésistibles de fumer. Il peut convenir à tous les fumeurs, quel que soit leur degré de dépendance. Nicorettespray® peut s’utiliser aux moments habituels de consommation ou bien pour soulager les envies irrésistibles de fumer.*

* Après 2 pulvérisations. Ne pas dépasser 2 pulvérisations par prise.

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Nicorettespray® s’utilise à chaque fois que le fumeur en ressent le besoin sans excéder 2 pulvérisations par prise. Néanmoins, il ne faut pas dépasser 64 pulvérisations par jour (soit l’équivalent de 4 pulvérisations par heure, pendant 16 heures).

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Chaque flacon Nicorettespray® contient 13,2 ml de solution permettant de fournir 150 doses, chacune contenant 1 mg de nicotine. La durée du pulvérisateur Nicorettespray® dépendra du nombre de pulvérisations faites quotidiennement.

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Comme tout médicament, Nicorettespray® peut provoquer des effets secondaires, bien que tout le monde n’y soit pas sujet, et qui sont similaires à ceux des autres formes de substituts nicotiniques. Les principaux effets secondaires que l’on peut ressentir lorsque l’on utilise NICORETTESPRAY® sont similaires à ceux des autres formes de nicotine. Les effets secondaires les plus fréquents du spray Nicorette® (affectant jusqu'à un utilisateur sur 10) sont :

  • Hoquets,

  • Maux de tête, nausées (envies de vomir),

  • Irritation de la gorge,

  • Effets localisés tels qu’une sensation de brulure, une
    inflammation de la bouche, une altération du gout,

  • Sècheresse de la bouche ou quantités accrues de salive,

  • Dyspepsie,

  • Douleur ou gêne au niveau du ventre (abdomen),

  • Vomissements, flatulence ou diarrhée,

  • Sensation de fatigue,

  • Hypersensibilité (allergie),

  • Picotements,

  • Toux

Pour limiter les effets indésirables, veillez à bien utiliser Nicorettespray® : pulvériserz bien la solution sur l’intérieur de la joue, en évitant les lèvres.

Pour plus d’informations sur le spray buccal Nicorettespray®, cliquez ici.

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Le traitement par substituts nicotiniques pendant la grossesse nécessite un avis et un suivi médical. Si vous souhaitez utiliser Nicorettespray® enceinte, il est important de consulter le professionnel de santé qui suit votre grossesse, votre médecin de famille ou un médecin d'un centre spécialisé dans l'aide aux personnes souhaitant arrêter de fumer.

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Lors de l’utilisation de NICORETTESPRAY®, le hoquet est l’effet secondaire le plus fréquent. Il apparaît chez plus d’un utilisateur sur 10.

Pour limiter les effets indésirables, veillez à bien utiliser Nicorettespray® : pulvériserz bien la solution sur l’intérieur de la joue, en évitant les lèvres.

Pour plus d’information sur le spray buccal Nicorettespray®, cliquez ici.

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Nicorettespray® est un médicament qui contient une infime quantité d’alcool (moins de 100 mg par pulvérisation).

En cas de sevrage alcoolique, il est important de consulter un professionnel de santé avant toute utilisation de Nicorettespray® et de lire attentivement la notice.

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Vous pouvez utiliser et conserver Nicorettespray® jusqu’à sa date de péremption, qui est indiquée sur le pulvérisateur et sur l’emballage extérieur.

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Nicorettespray® est une solution unique et innovante qui permet de soulager les envies irrésistibles de fumer dès 30 secondes. L’autre avantage de Nicorettespray® est sa discrétion : il se glisse facilement dans votre poche ou votre sac et vous pouvez l’emporter partout avec vous. Nicorettespray® peut s’utiliser quel que soit votre degré de dépendance, aux moments habituels de consommation de cigarette ou pour soulager les envies irrésistibles de fumer.

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Comprendre le tabagisme

Lorsque l’on fume, il existe un « pic » initial pendant lequel la concentration de nicotine augmente en continu et ce jusqu’à la combustion totale de la cigarette, soit entre 5 et 7 minutes. Ensuite, cette concentration diminue rapidement : après une heure, elle diminue de moitié ; après deux heures, il ne reste dans le sang plus qu’un quart du pic initial. Savoir combien de temps la nicotine reste dans le sang permet de mieux comprendre le sevrage tabagique.(1)

[;(1) Stop-tabac.ch. La cinétique de la nicotine. https://www.stop-tabac.ch/fr/la-cinetique-de-la-nicotine [consulté le 17/09/2019];]

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L’Assurance Maladie prend en charge, sur prescription médicale, certaines formes de substituts nicotiniques à hauteur de 65%.

Au sein de la gamme Nicorette®, les patchs Nicoretteskin® 16 heures, les gommes à mâcher (boîtes de 105 et 210) et les comprimés sublinguaux Nicorette® Microtab sont remboursables de manière « classique par la Sécurité Sociale, à hauteur de 65%. » Les complémentaires santé prennent en charge le ticket modérateur de ces médicaments.​ Les professionnels de santé habilités à prescrire les substituts nicotiniques sont les médecins, les sages-femmes, les infirmiers, les kinésithérapeutes, les médecins du travail ou les chirurgien dentistes. Demandez leur conseil.​

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La dépendance, ou addiction, commence lorsque l’on ne peut plus se passer de la consommation d’une substance, alors que l’on sait qu’elle est néfaste pour la santé. On distingue trois types de dépendance au tabac : la dépendance physique due au manque de nicotine, la dépendance psychologique, liée aux émotions et au sentiment de bien-être, et la dépendance comportementale qui est conditionnée par les habitudes et les rituels.

Pour évaluer en quelques étapes votre degré de dépendance au tabac, nous vous conseillons de faire le test de Fagerström puis le sélecteur de produits Nicorette® qui vous indiquera le produit le plus adapté à vos besoins.

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Certains pensent qu’en petites quantités, on peut fumer sans danger, or cette idée reçue est fausse. En effet, il n’existe pas de seuil au-dessous duquel fumer ne représente pas de risque(1). Dès la première cigarette, fumer provoque des réactions dans votre corps (accélération du rythme cardiaque, irritation des muqueuses, absorption de substances toxiques, etc.). Fumer sans danger est impossible et plus la consommation de cigarette est importante, plus les risques pour la santé augmentent(1).

[;(1) Stop-tabac.ch. La quels effets pour les petits fumeurs. https://www.stop-tabac.ch/fr/les-effets-du-tabagisme-sur-la-sante/quels-effets-pour-les-qpetitsq-fumeurs [consulté le 17/09/2019];]

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Le tabac comporte de nombreux risques spécifiques aux femmes, notamment en ce qui concerne la pilule contraceptive qui est contre-indiquée en cas de tabagisme. Quels sont les dangers de l’association pilule et cigarette ? Pilule et cigarette ne font pas bon ménage : en effet, lorsque l’on prend une pilule contraceptive, fumer favorise la formation de caillots, abîme la paroi des vaisseaux sanguins et diminue leur diamètre. Cela augmente de façon significative le risque cardiovasculaire et peut entraîner de graves complications (accident vasculaire cérébral, phlébite, embolie pulmonaire etc.).(1)

[;(1) Stop-tabac.ch. Pilule et tabac, attention danger. https://www.stop-tabac.ch/fr/les-effets-du-tabagisme-sur-la-sante/pilule-et-tabac-attention-danger [consulté le 17/09/2019];]

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Les jeunes enfants sont particulièrement sensibles au tabagisme passif. La fumée de cigarette est une agression directe du système respiratoire qui explique la survenue plus fréquente de maladies infectieuses (sinusites, angines, bronchites, grippes etc.). Les effets du tabagisme passif sur les enfants sont une source de motivation importante pour de nombreux fumeurs qui souhaitent arrêter.(1)

[;(1) Tabac Info Service. Le tabagisme passif. http://www.tabac-info-service.fr/Le-tabac-et-moi/Les-effets-nefastes-du-tabac-pour-moi/Le-tabagisme-passif/(language)/fre-FR [consulté le 17/09/2019];]

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L’asthme est une maladie chronique dont les causes peuvent être génétiques ou environnementales. Le tabagisme, avec son action néfaste sur les bronches, peut entraîner une maladie asthmatique. De plus, lorsque l’on souffre d’asthme, la fumée de cigarette aggrave les symptômes. Asthme et tabac ne font vraiment pas bon ménage !(1)

[;(1) CNCT. Des risques spécifiques sur l’appareil respiratoire. https://cnct.fr/tabac-des-risques-specifiques-sur-lappareil-respiratoire/ [consulté le 17/09/2019];]

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La dépression est un symptôme fréquent du sevrage tabagique. En effet, les effets psychoactifs de la cigarette provoquent un sentiment artificiel de bien-être. Lors du sevrage, la disparition de ces effets peut entraîner des sensations de déprime. Néanmoins, même si arrêt du tabac et symptôme dépressif peuvent être liés, le sevrage tabagique seul est très rarement responsable de véritables dépressions.

Les symptômes dépressifs disparaissent généralement en moins de deux mois et peuvent être atténués par l’utilisation de substituts nicotiniques.(1)

(1) Major depressionand cigarette smoking: results of a 21-year longitudinal study. Fergusson, D.M., Goodwin, R.D., Horwood, L.J. PsychologicalMedicine, 33

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Contrairement aux idées reçues, fumer le cigare est aussi dangereux que la cigarette. En effet, la fumée de cigare contient de nombreux produits toxiques tels que les nitrates ou l’ammoniac. Le cigare entrainerait même des risques encore plus élevés de cancer du larynx, du pharynx et de la bouche.

Fumer le cigare est également nocif pour votre entourage. En comparaison par rapport à une cigarette fumée à 70%, un gros cigare fumé à 70% émet environ 20 fois plus de monoxyde de carbone, 5 fois plus de particules et 2 fois plus d'hydrocarbures aromatiques.(1)

[;(1) Stop-tabac.ch. Les dangers du cigare. https://www.stop-tabac.ch/fr/les-effets-du-tabagisme-sur-la-sante/les-dangers-du-cigare [consulté le 17/09/2019];]

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Ne pas avaler la fumée de cigarette ne met pas le fumeur à l’abri des risques liés à la cigarette. La seule véritable différence se situe dans le fait que le risque sera d’avantage localisé au niveau de la bouche et de la gorge. Il n’y a également pas besoin d’avaler la fumée pour devenir dépendant puisque la nicotine peut être diffusée à travers la muqueuse buccale. Enfin, même lorsqu’il « crapote », le fumeur respire forcément sa propre fumée de cigarette, qui entre alors dans les poumons.

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Si le célèbre « café-clope » rend autant accro, c’est parce qu’il correspond à un rituel quotidien. Cette habitude entraîne une dépendance comportementale qui vient s’ajouter à la dépendance physique liée à la nicotine. Fumer une cigarette et boire un café sont alors enregistrés par le cerveau comme des gestes indissociables.

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Chaque fumeur a sa propre réponse à cette question. On distingue néanmoins plusieurs facteurs qui incitent à commencer. L’affirmation de son indépendance à l’adolescence mais également à l’âge adulte, joue un rôle important. On peut également commencer la cigarette parce qu’on en apprécie le goût ou pour se relaxer. Chez de nombreux fumeurs, le tabagisme est un moyen de soulager le stress et de gérer leurs émotions au même titre que l’alcool ou les médicaments psychotropes. Enfin l’influence de l’environnement, la pression sociale ou une situation sociale difficile peuvent être des facteurs déclenchants.

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La fumée des cigarettes dites « légères » est quasiment la même que celles des cigarettes classiques. La mention « légère » n’est qu’un argument commercial basé sur la présence de micropores au niveau du filtre. Ces derniers sont censés diminuer la quantité de goudron et de nicotine inhalée. En réalité, comme le fumeur est à la recherche d’une certaine dose de nicotine, il va inconsciemment prendre de plus grandes bouffées pour compenser, s’exposant ainsi aux mêmes risques avec les cigarettes light qu’avec les cigarettes normales.(1)

(1) https://www.tabac-info-service.fr/Vos-questions-Nos-reponses/04_Questions-mises-en-ligne/Type-de-cigarette2 consulté le 10/07/2019

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Je songe à m'arreter

Lors du sevrage tabagique, la dépendance à la cigarette peut provoquer des symptômes de manque très forts ainsi que des effets secondaires. Outre le désir intense de fumer, le sevrage peut engendrer de l’anxiété, une irritabilité ou encore des troubles du sommeil. On peut également constater une augmentation de l’appétit et des difficultés de concentration. Les substituts nicotiniques de la gamme Nicorette® permettent de soulager efficacement ces symptômes.

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Lorsque l’on décide d’arrêter de fumer, le sevrage s’accompagne de différents symptômes de manque. La dépendance physique à la cigarette disparaît généralement en quelques semaines. En ce qui concerne la dépendance psychologique et comportementale, elles mettent plus longtemps à s’estomper. Il faut parfois plusieurs mois pour ne plus ressentir de fortes envies de fumer. Cela dit, l’utilisation de substituts nicotiniques et la mise en place d’une stratégie de sevrage peut aider à surmonter les envies de fumer.

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L’expression « fumeur occasionnel » est discutable car il n’y a pas de consommation de tabac sans risque. Il a été démontré que les personnes fumant de 1 à 4 cigarettes par jour ont deux fois plus de risque de mourir précocement que les non-fumeurs. De plus, la dépendance à la nicotine s’installe très rapidement et peut conduire un fumeur occasionnel à devenir un fumeur de plus en plus régulier.(1)

[;(1) Stop-tabac.ch. Les petits fumeurs. http://www.stop-tabac.ch/fra/risques-et-maladies-liees-au-tabac/petits-fumeurs.html [consulté le 17/09/2019];]

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Le tabacologue est un professionnel de santé spécialisé dans l’accompagnement à l’arrêt du tabac. Il effectuera un diagnostic complet et vous aidera à déterminer quel est le traitement le plus adapté à vos besoins. En bénéficiant d’un soutien psychologique et d’un suivi personnalisés, vous maximisez vos chances de succès.

N’hésitez pas à consulter un tabacologue dans votre démarche d’arrêt du tabac.

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Chaque fumeur est différent et il n’existe pas de méthode universelle ou de meilleur moyen pour arrêter de fumer.

On distingue néanmoins certains principes qu’il est bon d’appliquer :

  • Fixez une date précise pour arrêter.

  • Agissez sur votre environnement (jetez vos derniers paquets, prévenez vos proches et demandez-leur de vous soutenir…)

  • Changez vos habitudes (évitez les endroits où vous fumiez souvent, pratiquez de nouvelles activités, etc.).

  • Utilisez un traitement de substitution nicotinique pour soulager les symptômes de manque et éviter la rechute.

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Si vous vous sentez prêt à arrêter de fumer de façon immédiate, les substituts nicotiniques de la gamme Nicorette® permettent de soulager le manque tout en vous aidant à surmonter votre dépendance. Si vous ne vous sentez pas prêt à arrêter du jour au lendemain, réduire progressivement votre consommation tout en remplaçant certaines cigarettes par des formes orales telles que les gommes à mâcher, l’inhaleur ou le comprimés à sucer Nicorette® est un moyen efficace de parvenir à l’arrêt complet.

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Arrêter de fumer seul sans aide extérieure est possible. Néanmoins, l’utilisation d’un substitut nicotinique va jusqu’à doubler les chances d’arrêt par rapport à la volonté seule. De plus, il est important d’être soutenu lorsque l’on arrête la cigarette. Vous trouverez sur ce site de nombreuses informations et conseils pour vous aider dans votre démarche. Parlez de votre projet à vos proches et n’hésitez pas à consulter un professionel de santé si vous en ressentez le besoin.(1)

(1) Hartmann-Boyce J. et al. Nicotine replacement therapy for smoking cessation. Cochrane Database of Systematic Reviews 2018 Issue 5

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Fumer enceinte présente des risques majeurs pour le fœtus : retard de croissance, grossesse extra utérine… Il est donc primordial d’arrêter le plus rapidement possible (quel que soit le moment de la grossesse, l’arrêt est toujours bénéfique). Le traitement par substituts nicotiniques pendant la grossesse nécessite toutefois un avis et suivi médical : demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien avant de prendre tout médicament ! Les femmes enceintes qui veulent arrêter de fumer peuvent utiliser des substituts nicotiniques, à condition de le faire sous contrôle médical.

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La première chose à faire pour arrêter de fumer est de bien s’y préparer. Un arrêt planifié (définissez par exemple une date précise) a plus de chance de réussir qu’un arrêt décidé du jour au lendemain. Vous pouvez aussi commencer par faire le point sur votre dépendance grâce au test de Fagerström : vous pourrez ainsi définir quelle stratégie mettre en place dans votre démarche d’arrêt de la cigarette.

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Commencez par réduire le nombre de cigarettes fumées en les remplaçant par des substituts nicotiniques comme les gommes à mâcher, l’inhaleur ou les comprimés à sucer Nicorette®. En diffusant progressivement de la nicotine, ces derniers vont éviter que vous « tiriez » d’avantage sur les cigarettes restantes ; votre diminution progressive sera donc réellement efficace. Au fur et à mesure, remplacez de plus en plus de cigarettes jusqu’à parvenir à l’arrêt complet, celui-ci étant préférable à la réduction.

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Attention, n’abandonnez pas les substituts nicotiniques trop tôt ! Même si on a l’impression de pouvoir gérer son abstinence, il est important d’aller jusqu’au bout du traitement. Suivant les substituts, la durée moyenne d’un traitement est de 3 à 12 mois selon les stratégies thérapeutiques et le niveau de dépendance du fumeur. Si vous décidez tout de même de les arrêter, le mieux est de diminuer progressivement les doses.

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Pour cesser de fumer, il s’agit d’agir sur plusieurs fronts. Il faut se défaire de la dépendance physique à la nicotine, mais également lutter contre la dépendance psychologique liée aux émotions et au sentiment de bien-être procuré par la cigarette. Les substituts nicotiniques de la gamme Nicorette® permettent de soulager les symptômes liés au manque de tabac. Agir sur son environnement et changer ses habitudes sont également des étapes importantes.

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Je me lance

Un surdosage en nicotine peut apparaître si le patient traité avait au préalable de très faibles apports nicotiniques, ou s’il utilise de façon concomitante d’autres traitements pour le sevrage tabagique à base de nicotine. Les symptômes de surdosage sont ceux d’une intoxication aigüe à la nicotine incluant nausées, vomissements, hypersalivation, douleurs abdominales, diarrhée, sueurs, céphalées, étourdissement, diminution de l’acuité auditive et faiblesse générale. A doses élevées, peuvent apparaître une hypotension, un pouls faible et irrégulier, une gêne respiratoire, une prostration, un collapsus cardiovasculaire et des convulsions.

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Prendre quelques kilos est un phénomène fréquent lorsque l’on arrête de fumer. Dans la plupart des cas, cela correspond en réalité à un retour au poids normal de la personne. En effet, la cigarette, en agissant sur l’appétit et le métabolisme, maintient les fumeurs en situation de sous-poids tout en favorisant une répartition des graisses au niveau du ventre. Il est recommandé de manger sainement et de pratiquer une activité sportive afin de limiter la prise de poids.

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Lorsque l’on arrête de fumer, il est important de limiter les situations à risques pour éviter une rechute, sans vous couper de vos proches pour autant ! En effet, s’assurer de leur soutien est essentiel. Vous pouvez par exemple demander à vos amis d’éviter de fumer devant vous ou remplacer votre verre d’alcool par une boisson non alcoolisée moins calorique. En effet, l’alcool et la cigarette sont souvent associés. Gardez également en tête que ces mesures sont temporaires et qu’une fois votre arrêt du tabac plus installé, vous aurez suffisamment confiance en vous pour affronter ces situations sans risquer une rechute, la cigarette ne sera plus qu’un mauvais souvenir.

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Arrêter de fumer facilement est rare. Néanmoins, lorsque l’on est soutenu et bien préparé, tout est beaucoup plus simple. En soulageant les symptômes de manque, les substituts nicotiniques de la gamme Nicorette® vous aident à faire face plus sereinement aux envies de cigarettes. Découvrez le sélecteur de produits Nicorette® afin de déterminer le traitement adapté à vos besoins.

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Contrairement aux idées reçues, un tiers des fumeurs arrête sans grossir. Avoir une alimentation équilibrée et pratiquer une activité physique régulière permettent de garder la ligne lors de l’arrêt du tabac. Les substituts nicotiniques, en soulageant les symptômes de manque, permettent de prévenir le grignotage.

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En fonction des différents formats, la durée moyenne d’un traitement par substituts nicotiniques peut aller de 3 à 12 mois selon les stratégies thérapeutiques utilisées et le niveau de dépendance du fumeur. Concernant les gommes à mâcher et les patchs, celle-ci peut se prolonger jusqu’à 12 mois. Concernant le patchs, il ne faut pas dépasser 6 mois. Si vous n’êtes pas parvenu à l’arrêt au-delà du délai prescrit, il est préférable de consulter votre médecin ou un tabacologue.

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Dans la plupart des cas, les symptômes physiques du manque de nicotine apparaissent en moins de 24h. Le moment où ils sont le plus intenses se situe entre 48 et 72 heures après l’arrêt. Ils s’atténuent ensuite durant une vingtaine de jours en moyenne et disparaissent généralement après 6 à 8 semaines. Restent ensuite les envies de cigarettes déclenchées par des situations particulières qui peuvent durer de 6 à 12 mois. L’utilisation de substituts nicotiniques peut permettre de surmonter ce cap plus facilement.(1)

[;(1) Stop-tabac.ch. La gestion des symptômes de sevrage. http://www.stop-tabac.ch/fra/faq/la-gestion-des-symptomes-de-sevrage.html [consulté le 17/09/2019];]

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Lors de l’arrêt de la cigarette, le sommeil perturbé, les difficultés d’endormissement, rêves inhabituels et réveils nocturnes sont des troubles fréquents. Ces symptômes liés au manque de nicotine sont en général temporaires et peuvent être soulagés grâce à des mesures simples : éviter la caféine et les boissons au cola le soir, se coucher plus tôt, s’accorder un moment de calme avant l’endormissement en privilégiant la lecture à la télévision…

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Ne paniquez pas, c’est tout à fait normal ! D’ailleurs, les envies de fumer peuvent survenir même plusieurs mois après l'arrêt du tabac, puisqu’elles sont liées aux symptômes de sevrage au tabac. Ces envies ne durent en général que 3 à 4 minutes, votre objectif sera donc de laisser passer ces quelques minutes sans « craquer ». Pour cela, mettez en place une activité de diversion (boire ou manger quelque chose, aller faire un tour, pratiquer une activité de loisir ou domestique) ou utiliser le spray buccal Nicorettespray® qui soulagera dès 30 secondes vos envies irrésistibles de fumer.(1)

(1) RCP Nicorettespray®

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Je garde le cap

Lorsque l’on arrête de fumer, les envies de cigarettes peuvent être très intenses. L’utilisation de substituts nicotiniques aide à surmonter les symptômes de manque. Par exemple, le spray buccal Nicorettespray® permet de soulager vos envies irrésistibles de fumer dès 30 secondes. Il est également primordial d’éviter temporairement les situations à risques qui donnent envie d’une cigarette (dîner entre amis fumeurs, pause cigarette entre collègues, rituel du café clope etc.).(1)

(1) RCP Nicorettespray®

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Pour beaucoup de fumeurs, l’alcool et la cigarette vont de pair. Lorsque l’on arrête de fumer, boire un verre est une situation propice à la rechute. En effet, l'alcool, même en petite quantité, engendre des envies de fumer et diminue la maîtrise de soi. Durant les premières semaines de sevrage tabagique, il est donc recommandé d’éviter ces situations à risque.

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Dans votre bataille contre la cigarette, chaque tentative est un pas de plus vers l’arrêt complet. Après plusieurs tentatives, vous connaissez mieux les réactions de votre corps et pouvez identifier les situations à risque ; autant d’armes à utiliser pour vaincre définitivement la cigarette. D’ailleurs, beaucoup de fumeurs parviennent à l’arrêt complet après plusieurs tentatives.

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Pas de panique ! Même lorsque l’on est très motivé, il peut arriver de rechuter. Gardez en tête que l’arrêt du tabac est un apprentissage, l’important n’est pas de ne jamais chuter mais d’apprendre de ses erreurs et de toujours se relever. Si les envies de fumer sont trop fortes, il faut peut-être revoir le dosage de votre traitement nicotinique.

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Lorsque l’on arrête de fumer, certains symptômes peuvent apparaître : irritations de la gorge, sinusites, angines, rhumes, etc. Rassurez-vous, bien que désagréables, ces symptômes sont temporaires (quelques semaines au maximum) et sont le signe que votre corps évacue les déchets et retrouve son fonctionnement normal. Quant à la toux, elle prouve que les cils vibratiles qui tapissent votre gorge se remettent à faire leur travail.(1)

[;(1) Tabac Info Service. Je tousse, j’ai mal à la gorge. http://www.tabac-info-service.fr/Je-tiens-bon/Difficultes-et-solutions/Je-tousse-j-ai-mal-a-la-gorge [consulté le 17/09/2019];]

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Médicaments contenant de la nicotine. Patch, gomme et inhaleur : à partir de 15 ans. Microtab, Nicorette® comprimés à sucer et NICORETTESPRAY® : à partir de 18 ans. Contiennent de l'alcool (NICORETTESPRAY® et NICORETTE® gommes classiques et fruits). Utilisés pour aider les fumeurs à arrêter leur consommation du tabac. L'arrêt définitif de la consommation de tabac est préférable. Demandez conseil à votre pharmacien. En cas de difficultés, consultez votre médecin. Lire attentivement la notice. Ne pas utiliser chez la femme enceinte sans avis médical.

23/07/6 786284 8/GP/004 - FR-NI-2300131 Mis à jour 11/2024